Death in Vegas, Trans-Love Energies

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On les avait vus grands, très grands au début des années 2000. Puis, on a vu Death In Vegas décliner au point de disparaître totalement. Sept ans plus tard, Richard Fearless nous revient seul de New York, avec l’humilité du débutant. En net regain de créativité, ce producteur incroyable renoue avec un propos initial qui alimentait la pop de subtils éléments électroniques. On se laisse bercer par des compositions aux accents délicieusement psychédéliques, qui n’hésitent pas à virer au rock hautement électrifié, à la manière des Stooges, au point de tout aspirer comme un ultime trou noir. (E.A.)